Il l’a commencée avec passion. Les premiers mots ont coulé tout seuls, portés par l’enthousiasme. L’histoire s’est déroulée dans son esprit comme un film palpitant. Puis, petit à petit, le souffle est retombé. Il s’est mis à douter. Il s’est demandé si son idée était vraiment bonne. Si son style était à la hauteur. Si quelqu’un lirait un jour son histoire. Alors, un jour, il a refermé son carnet. Ou il a cliqué sur « Enregistrer sous » avant de fermer son document. Et depuis, son histoire dort dans un tiroir. Peut-être depuis des mois. Peut-être depuis des années.
Vous vous reconnaissez dans ce portrait ?
Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul(e).
Voyons ensemble pourquoi tant d’histoires finissent ainsi… et comment leur donner enfin une seconde chance.
1. Le poison du doute
⚠️ « Est-ce que mon idée est assez bonne ? » Tout écrivain passe par cette phase. L’excitation des premiers jours laisse place à la peur que l’histoire ne soit pas à la hauteur. Le problème ? C’est qu’on ne peut jamais être totalement objectif sur son propre travail.
⚠️ « Et si c’était mauvais ? » La peur du ridicule, la crainte d’un avis négatif… Ces pensées sont des parasites qui bloquent la créativité. Pourtant, tous les grands auteurs ont écrit des premières versions imparfaites. Stephen King, J.K. Rowling, Hemingway… tous ont réécrit, corrigé, peaufiné.
⚠️ « J’ai commencé, mais je ne sais pas comment finir… » L’enthousiasme du départ fait souvent place à une sensation de perdition. Le plan initial n’est plus clair, l’intrigue semble s’enliser… et plutôt que de chercher une solution, on préfère abandonner.
2. La malédiction de l’isolement
✅ Sans retours, difficile d’avancer Quand on écrit seul, on tourne en rond. Un regard extérieur peut aider à voir ce qu’on ne perçoit plus dans son propre texte.
✅ Sans motivation, on reporte toujours au lendemain Une histoire laissée en pause a tendance à le rester. Plus on attend, plus on a du mal à s’y replonger. Avoir une structure, des objectifs et des échanges avec d’autres auteurs change tout.
✅ Sans cadre, l’abandon est plus tentant Les écrivains qui réussissent sont ceux qui s’imposent une discipline. Pas forcément écrire tous les jours, mais au moins s’engager à avancer régulièrement.
3. Briser la malédiction : donner une seconde chance à votre histoire
✨ Acceptez que la première version soit imparfaite Une histoire qui dort dans un tiroir ne sera jamais terminée. Mais une histoire imparfaite peut toujours être améliorée. Laissez-la respirer, puis reprenez-la avec un regard neuf.
✨ Faites lire votre texte à quelqu’un de confiance Un retour constructif peut donner l’impulsion nécessaire pour poursuivre. Choisissez une personne bienveillante qui saura pointer ce qui fonctionne et ce qui peut être amélioré.
✨ Rejoignez une communauté d’auteurs S’entourer d’autres écrivains permet de maintenir la motivation, d’avoir des échanges enrichissants et de ne pas se sentir seul face à son projet.
Conclusion
Votre histoire ne mérite pas de rester oubliée. Elle peut encore prendre vie, être améliorée, évoluer.
Alors, oserez-vous ouvrir ce tiroir, rouvrir ce document, reprendre ce carnet ?
Si vous avez besoin d’un coup de pouce, d’un cadre bienveillant et de motivation, le Club Premium Tisseurs d’Histoires rouvrira ses portes le 1er avril (et non, ce n’est pas un poisson d’avril !). L’occasion parfaite pour donner un nouvel élan à votre écriture et à votre projet en cours. Et cette fois, on ne se contentera pas de ressortir une histoire du tiroir : on va plonger au cœur même de sa mécanique ! Le Module 3 sera entièrement consacré à la construction des histoires, aux rouages narratifs et aux techniques qui rendent un récit captivant. Un module à ne pas manquer si vous voulez comprendre ce qui fait qu’une histoire fonctionne… ou pas !
Remarque : Les inscrits sur la liste d’attente auront droit à une petite surprise exclusive lors de l’ouverture du 1er avril… mais chut, on garde encore un peu de mystère !
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Et si votre aventure redémarrait vrai le 1er avril ?
A vos succès d’écriture…