Depuis une semaine, on parle d’envie, de flamme, de rythme, de blocage…
Mais au fond, une question essentielle reste en suspens :
Qu’est-ce qui t’a redonné envie d’écrire ?
Un texte, une rencontre, une émotion, une colère, un silence, une perte, un rêve peut-être…
Souvent, il suffit d’un rien pour rallumer la machine.
Alors aujourd’hui, je te propose un petit moment de partage entre auteurs.
1/ Ce moment où tout bascule
Tu vois, ce jour où tu avais presque renoncé.
Et puis une phrase, un souvenir ou une image t’a fait rouvrir ton carnet.
C’est souvent dans ces moments fragiles que la plume retrouve sa place.
Parce qu’on n’arrête jamais vraiment d’écrire :
on fait juste une pause pour mieux entendre ce qu’on a à dire.
2/ Ton déclic, ton souffle
Raconte-moi.
C’était quoi, toi, ton déclic ?
Un livre, une chanson, une personne ?
Ou juste une envie de retrouver cette sensation d’exister entre les mots ?
Chaque auteur a son “moment de retour”, et chacun mérite d’être entendu.
3/ Un article collectif
Ce billet est différent.
Je n’y donne pas de conseils, je n’analyse rien.
Je te tends juste la plume.
Parce que parfois, l’inspiration revient… quand on ose la partager.
4/ Conclusion
Cette semaine, on a exploré les tempêtes et les silences de l’écriture.
Et si on terminait sur une note lumineuse ?
Dis-moi ce qui t’a redonné envie d’écrire.
Je lirai chaque mot, promis.
Chez les Tisseurs d’Histoires, on aime écouter les récits des plumes qui se réveillent.
Parce que chaque retour à l’écriture est déjà une victoire.
Ce qui m’a redonné le goût d’écrire, c’est l’engouement de mes lecteurs pour mon personnage principal. J’en suis à ma quatrième intrigue policière et tout ce qu’ils veulent, c’est le personnage principal de mon premier roman ! Alors pour qu’ils puissent la retrouver dans toutes mes intrigues, j’ai décidé d’en faire une détective privée.
Merci pour votre message.
C’est beau de voir un personnage prendre autant de place qu’il finit par guider vos intrigues. Le choix d’en faire une détective privée est parfait. Vos lecteurs vont être ravis de la retrouver, et vous, vous allez vous amuser à la suivre dans ses nouvelles enquêtes.
A vos succès d’écriture
Écrire pour écrire, que nenni, Écrire pour remonter le temps et pour transmettre à sa descendance… oui, mais quel style adopter?…..
Quel densité donner à chaque étape?…
Avec des photos pour accompagner certaines descriptions?…
– Alors une question s’invite, surgie de « nulle part » Qu’est ce que mes parents m’ont transmis? Elle coïncide avec le thème abordé ensuite à la Grande Librairie « la permanence du lien familial » et c’est parti pour un premier jet, brut, à confronter au réel , par sa transmission dans une forme réduite, mais attentive aux retours!
Écrire pour remonter le temps et transmettre à sa descendance… Quel beau point de départ !
Ces questions — quel style adopter, quelle densité donner à chaque étape, faut-il intégrer des photos ? — sont au cœur même du travail de mémoire.
En tant que biographe, je dirais que le style dépend d’abord de l’intention : voulez-vous raconter ou témoigner ? Cherchez-vous à restituer une époque, ou à faire revivre des émotions ? Le style naît souvent de cette intention.
La densité, elle, se trouve en avançant : certaines étapes demandent du souffle, d’autres se contentent d’une évocation légère. L’écriture, c’est aussi une question de rythme.
Et les photos ? Elles peuvent devenir de véritables passerelles entre le texte et la mémoire. Une image relie, incarne, touche directement — à condition qu’elle soit choisie avec justesse.
Ce premier jet “brut” que vous évoquez sera une excellente base : c’est la trace vivante d’un élan sincère. Ensuite vient le temps du façonnage, tout en douceur, pour que la mémoire prenne forme et trouve sa voix.
Bonne écriture