Illustration lumineuse d’un auteur qui relit calmement ses notes, symbole d’apprentissage et de progression sereine.Tu relis ton texte et tu grimaces.
Une tournure bancale, une phrase trop longue, un dialogue pas fluide…
Et la petite voix s’invite :

“C’est nul.”

“Je n’y arriverai jamais.”
“Les autres écrivent tellement mieux.”

STOP !
Tu n’écris pas mal.
Tu es simplement en apprentissage.

Et ça change tout.

1/ L’écriture n’est pas un don, c’est une pratique

On ne naît pas écrivain.
On le devient, phrase après phrase.

Chaque texte, même maladroit, est une brique de ton édifice d’auteur.
Tu n’écris pas “mal” : tu explores, tu tentes, tu ajustes.

L’écriture, c’est comme un instrument.
Tu peux lire toutes les partitions du monde,
mais tant que tu n’as pas touché le clavier, tu n’apprends pas à jouer.

2/ Tes erreurs sont tes meilleurs professeurs

Les fautes, les longueurs, les maladresses… ne sont pas des preuves d’incompétence.
Elles sont des points lumineux qui t’indiquent où progresser.

Chaque fois que tu repères une faiblesse, tu avances.
Chaque fois que tu relis, tu grandis.

Tu n’as pas besoin d’écrire parfait — juste d’écrire présent.

3/ La comparaison est un poison lent

Tu compares ton premier jet au livre terminé d’un auteur confirmé.
Mais entre les deux, il y a des années de brouillons, de ratures et de doutes.

Même les grands écrivains ne publient pas ce qu’ils écrivent en premier.
Alors sois ton propre compagnon d’apprentissage, pas ton juge.

Tu n’as pas besoin d’être le meilleur.
Tu as besoin d’être constant.

4/ L’écriture est une route, pas un examen

Tu n’écris pas pour “réussir ton texte”,
tu écris pour te transformer.

Chaque phrase maladroite t’enseigne ta voix.
Chaque chapitre difficile t’apprend ta persévérance.

Et c’est ça, écrire : apprendre à te connaître à travers les mots.

Conclusion

Tu n’écris pas mal.
Tu apprends à écrire, et c’est infiniment plus précieux.

Parce que le jour où tu regarderas ton texte et que tu penseras :

“Ce n’est pas parfait, mais c’est moi.”
alors tu sauras que tu es sur le bon chemin. 

C’est exactement ce qu’on vit chaque mois dans Tisseurs d’Histoires :

écrire, apprendre, oser, recommencer. Parce que progresser, c’est déjà créer.

A vos succès d’écriture
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