Un peu de lecture et de détente. Découvrez le dernier livre de Philippe Claudel…

 

 

 

 

Un livre court (117 pages – éditeur FINITUDE) mais un titre démesuré :

De quelques amoureux des livres que la littérature fascinait, qui aspiraient à devenir écrivains mais en furent empêchés par diverses raisons qui tenaient aux circonstances, aux siècles de leur naissance, à leur caractère, faiblesse, orgueil, lâcheté, mollesse, bravoure, ou bien encore au hasard qui de la vie fait son jouet et entre les mains duquel nous ne sommes que de menues créatures, vulnérables et chagrines.

 

De quelques amoureux des livres

 

Cliquez et lisez les premières pages

 

À propos du livre (de l’éditeur Finitude)

 

Il y a tant de raisons possibles pour qu’un livre ne voie jamais le jour, qu’il semble quasi miraculeux qu’un beau matin quelqu’un ait pris la plume et soit parvenu à en écrire un.

Avec une délicieuse fantaisie, Philippe Claudel passe en revue une litanie d’écrivains en devenir, de malheureuses victimes de la littérature, soumises à de pathétiques aléas, à des imprévus aussi cocasses que farfelus.

 

Vous l’avez compris, dans son recueil, Philippe Claudel offre un récit sur l’écriture, les écrivains et les éditeurs, la lecture et les lecteurs, une revue pleine d’humour et de tendresse, d’humour noir ou d’ironie, de folie voire de philosophie.

Sourire aux lèvres, je me suis délectée de ce petit inventaire d’échecs littéraires plein d’humour et de passion. Au fil de ma lecture, j’ai pensé à Beckett et à sa citation :

 

Essayer. Rater. Essayer encore. Rater encore. Rater mieux

 

Ce qu’en dit la presse

 

Une merveille de malice, de profondeur, de poésie. Un délice.
Augustin Trapenard, Boomerang (France-Inter).

Un livre drôle, ironique, délicieusement fantaisiste. Je le place très haut dans ce que vous avez écrit.
François Busnel, La Grande Librairie (France 5).

Un petit ovni dont le titre est tout un poème. Lisez-le, c’est une merveille.
Augustin Trapenard, Le Grand Journal (Canal+).

Le plus drôle et sans aucun doute le plus audacieux des livres de Philippe Claudel. […] Il se régale, et nous aussi.
Olivier Mony, Livres-hebdo.

Ce livre, brillant, ne manque pas de panache ni de cocasserie.
Baptiste Liger, Lire.

Là, la littérature se déploie en creux, à travers les multiples figures de son impossible naissance.
Jean Birnbaum, Le Monde.

Une influence vient vite à l’esprit : Borges.
L.-H. de La Rochefoucauld, Technikart.

Un ouvrage à l’esprit fantasque et souriant.
Mohammed Aïssaoui, Le Figaro.

Ça paraît drôle, et ça l’est. Mais c’est surtout très poétique.
Philibert Humm, Paris-Match.

Avec talent et humour, Ph. Claudel raconte des histoires drôles et tristes de victimes de la littérature.
J.-Cl. Vantroyen, Le Soir.

 

Je vous recommande ce livre. Bonne lecture !

 

À vos succès d’écriture…

 

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